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Depuis trois ans, Alexandre Jardin sillonne la France avec son association Bleu Blanc Zèbre (1), une bande d’« optimistes qui lancent un appel aux citoyens bienveillants, à celles et ceux qui par leur action refusent la fatalité ». Il organise des rencontres, les cafés de zèbres, les zèbres étant pour lui les « faizeux », ceux qui font, concrètement. Chaque fois, deux à trois cents personnes y expliquent ce qu’elles tentent pour guérir les fractures du pays. Pour Isabelle Adjani, les actions de son ami écrivain représentent l’amour de l’autre par excellence. Discussion à bâtons rompus sur un thème qui les passionne autant l’un que l’autre : la solidarité.